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Wysiwyg au carnaval #2

 

Le bonhomme carnaval et sa ceinture fléchée : l'emblème du carnaval

Chose presque promise, chose due. Il faisait un très beau soleil aujourd’hui. La température n’est pas montée d’un dixième, mais j’ai magasiné hier une combine doublée coupe-vent. C’était l’occasion idéale de vérifier qu’elle me maintient bien au chaud. Et je confirme, l’expérience est concluante. Bon, je fais un peu bibendum, mais tout le monde ici prend du volume par temps froid.

Le défilé était annoncé à 13h sur Charest et je n’ai pas voulu me laisser piéger comme hier par les chiens de traîneau. J’étais donc sur le boulevard tout comme une foule de poussettes et de parents emmitouflés, pour voir passer Bonhomme carnaval et les personnages gonflables précédés de la police et son beau vtt -pour véhicule tout terrain, les vtt comprennent les skidoo, les quad etc…notre vélo tous terrains est un…bicycle-.

 

 

Je suis épatée par les véhicules de transport d’enfants de ce pays. On voit bien aussi qu’ils ne prennent pas le bus avec, parce que je ne crois pas que çà passe par la porte. Mais reconnaissez que c’est luxueux comme poussette. Il y a aussi la version luge, et la version charriot à roulettes.

 

 

 

 

 

 

 

Pas de char thématique, donc, pour ce défilé. Et j’imagine que les ados qui tiraient les structures préféraient. Je ne risquais pas de louper le défilé : il lui a fallu deux heures pour effectuer son trajet. Lequel j’effectue en temps normal en vingt minutes.

 

Parmi les accessoires de carnaval, il y a la trompette. Instrument à la musicalité douteuse, elle produit un son ressemblant à un barrissement, mais qui économise les cordes vocales des papas et des mamans comme des petits. J’ai trouvé bien sympa aussi, les fauteuils roulants modifiés en machine volante pour le défilé. C’était chouette et les gamins avaient l’air de bien s’éclater !

 

 

 

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La température a mis les piles de mon appareil photo à plat en moins d’une heure ! Donc, abandonnée par le matériel, j’ai repris le chemin de la maison non sans me demander si j’allais m’arrêter dans un café pour boire quelque chose. Mais l’idée d’avoir à séjourner au chaud avec mon équipement, et plus encore celle d’avoir à ôter la combine et au moins deux couches de pulls pour les remettre avant de sortir, m’a épuisée. Je suis rentrée directement à la maison. Je ne suis pas encore tout à fait québécoise !Le défilé sur le boulevard Charest

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